• Accueil
  • Le bar à jeux
  • Les salons
    • Salon Cuba
    • Salon Sitcom (6p)
    • Salon 80’s
    • Salon Big brother
    • Salon Toys
    • Salon Sitcom (12p)
  • Entreprises
  • Restauration
    • Nos offres restauration
    • Les brunchs ludiques
  • Le 3Bis
    • A propos
    • Recrutement
    • Nous contacter
  • Nos offres
    • Location tournages
    • Cartes et coffrets cadeaux
  • Accueil
  • Le bar à jeux
  • Les salons
    • Salon Cuba
    • Salon Sitcom (6p)
    • Salon 80’s
    • Salon Big brother
    • Salon Toys
    • Salon Sitcom (12p)
  • Entreprises
  • Restauration

    • Nos offres restauration
    • Les brunchs ludiques
  • Le 3Bis

    • A propos
    • Recrutement
    • Nous contacter
  • Nos offres

    • Location tournages
    • Cartes et coffrets cadeaux
Logo Logo Logo Logo

Slide à propos

Slide La légende du Troye-Bisse Il était une fois, dans une contrée pas si reculée et entourée par le royaume de « La petite couronne », 2 chevaliers qui nourrissaient l’espoir secret d’un jour déposer leurs armes pour enfin embrasser leur vraie destinée : le Jeu et le Festoiement.

Devant la pauvreté des loisirs de l’époque (qui se résumaient globalement à cramer des types et faire la bagarre avec des dragons), les 2 jeunes âmes décidèrent de créer leur propre clan, le Troie-Bysse, et de construire une auberge à leur image dans laquelle ils rassembleraient, je cite, « tout qu’est-ce qu’on aime trop bien » (oui bon, à cette époque le Bescherelle c’était un peu comme les épluche-bananes : on savait que ça existait, mais on ne comprenait pas vraiment qui les utilisait).

Ainsi naquit l’auberge du Troye-Bysse, qui continue aujourd’hui encore à faire vivre les valeurs de la Joie et du Divertissement à travers tout le royaume. E que s’apelerio Quézac.

Fin.
La légende du Troye-Bisse Il était une fois, dans une contrée pas si reculée et entourée par le royaume de « La petite couronne », 2 chevaliers qui nourrissaient l’espoir secret d’un jour déposer leurs armes pour enfin embrasser leur vraie destinée : le Jeu et le Festoiement.

Devant la pauvreté des loisirs de l’époque (qui se résumaient globalement à cramer des types et faire la bagarre avec des dragons), les 2 jeunes âmes décidèrent de créer leur propre clan, le Troie-Bysse, et de construire une auberge à leur image dans laquelle ils rassembleraient, je cite, « tout qu’est-ce qu’on aime trop bien » (oui bon, à cette époque le Bescherelle c’était un peu comme les épluche-bananes : on savait que ça existait, mais on ne comprenait pas vraiment qui les utilisait).

Ainsi naquit l’auberge du Troye-Bysse, qui continue aujourd’hui encore à faire vivre les valeurs de la Joie et du Divertissement à travers tout le royaume. E que s’apelerio Quézac.

Fin.
« 2 COPAINS, 2 COPAINS,
C’EST LA CHANSON DES 2 COPAINS… »
Avant d’être une légende mal racontée sur un site sans queue ni tête, le 3Bis c’est avant tout une histoire d’amitié (sans déconner, c’est stylé comme intro ou pas ?)

C’est en 2005 que les 2 fondateurs, appelons-les Vincent et Bruno (c’est court, facile à retenir, et c’est accessoirement leurs vrais prénoms), se rencontrent en école de commerce.
C’est le début d’une bromance à faire pâlir Batman et Robin (ou Jennifer Anniston et Courtney Cox hein, chacun ses références).

15 ans plus tard, au cours d’un énième colloque sur la Pensée Kantienne avec d’autres amis philosophes (ouais bon ok, « au cours d’une grosse beuverie avec des potes »), une promesse naquit: dès le lendemain à l’aube (en réalité genre 3 semaines plus tard vers 14h), ils quitteraient leur emplois respectifs, et créeraient enfin leur « concept ultime de sa maman qui tue », leur Graal.

A partir de là, ils ajoutèrent des pièces au puzzle un peu dans tous les sens, explorèrent, tâtonnèrent, collèrent plein de post-it sur des vitres (ça sert à rien mais ça fait cool, #start-up_nation, Manu balance les subventions!), et après 2 ans de gestation, PAF, ça fait des chocap Le 3Bis.

C’est bien raconté hein?
« 2 COPAINS, 2 COPAINS,
C’EST LA CHANSON DES 2 COPAINS… »
Avant d’être une légende mal racontée sur un site sans queue ni tête, le 3Bis c’est avant tout une histoire d’amitié (sans déconner, c’est stylé comme intro ou pas ?)

C’est en 2005 que les 2 fondateurs, appelons-les Vincent et Bruno (c’est court, facile à retenir, et c’est accessoirement leurs vrais prénoms), se rencontrent en école de commerce.
C’est le début d’une bromance à faire pâlir Batman et Robin (ou Jennifer Anniston et Courtney Cox hein, chacun ses références).

15 ans plus tard, au cours d’un énième colloque sur la Pensée Kantienne avec d’autres amis philosophes (ouais bon ok, « au cours d’une grosse beuverie avec des potes »), une promesse naquit: dès le lendemain à l’aube (en réalité genre 3 semaines plus tard vers 14h), ils quitteraient leur emplois respectifs, et créeraient enfin leur « concept ultime de sa maman qui tue », leur Graal.

A partir de là, ils ajoutèrent des pièces au puzzle un peu dans tous les sens, explorèrent, tâtonnèrent, collèrent plein de post-it sur des vitres (ça sert à rien mais ça fait cool, #start-up_nation, Manu balance les subventions!), et après 2 ans de gestation, PAF, ça fait des chocap Le 3Bis.

C’est bien raconté hein?
TRUCS CHIANTS
  • FAQ
  • Protections des données
  • CGVs
NOS ACTIVITÉS
  • Le bar à jeux
  • Entreprises
  • Les salons
LE 3BIS
  • A propos
  • Recrutement
  • Nous contacter

© Le 3Bis Paris 2021. Tous droits réservés. Sinon y'a bagarre.